
La critique est facile – E. Tarlet, psychologue


Depuis environ une année, la Somalie connait une succession de catastrophes qui plongent le pays dans une situation difficile. Invasion de criquets, sécheresse, covid-19 et inondations au programme de Paroles solidaires avec Océane Thaeder, chargée de projets chez ADRA France. Cliquez pour écouter ou réagissez ici.


La flamme vacille…
Il y a environ un an, jour pour jour, le 5 février 2020, le comité d’organisation des Jeux Olympiques de Tokyo 2020 s’inquiète de l’épidémie de COVID19 qui prend de l’ampleur. Toshiro Muto le patron des Jeux Olympiques de Tokyo, déclare alors : « Nous sommes extrêmement inquiets, dans le sens où l’avancée de l’épidémie pourrait tempérer l’intérêt et l’enthousiasme pour les Jeux ». Courant mars 2020, l’hypothèse d’une annulation des Jeux inquiète les athlètes, puis des fédérations nationales et internationales et des comités nationaux olympiques annoncent tour à tour leur intention de ne pas envoyer des athlètes à Tokyo aux dates prévues.
La flamme vacille…
Le 22 mars 2020, face à ce qui est devenu une pandémie, le président du CIO, Thomas Bach, indique que « l’annulation [des J.O. de Tokyo] n’est pas à l’ordre du jour » mais reconnaît qu’il est envisagé « un scénario de report ». La décision devant être prise d’ici fin avril 2020. Trois scénarios seraient étudiés s’il y avait un report : automne 2020, été 2021 ou été 2022. Le même jour, les comités olympique et paralympique canadiens décident qu’aucun athlète canadien ne sera envoyé aux JO de Tokyo si ces derniers ne sont pas reportés à une date ultérieure. Le comité olympique australien annonce lui aussi de ne pas envoyer d’athlètes australiens aux JO.
La flamme vacille…
Le 24 mars, par la voix de son Premier ministre d’alors, Shinzō Abe, le Japon annonce avoir demandé au CIO le report des Jeux de Tokyo à 2021. « Le président Thomas Bach a accepté à 100 % » dit-il. Le même jour, le CIO annonce officiellement le report. Le CIO précise que le nom des Jeux restera inchangé : « Jeux olympiques et paralympiques de Tokyo 2020 ». Ils auront lieu du vendredi 23 juillet 2021 au dimanche 8 août 2021, tout au moins si la pandémie de Covid-19 est contenue d’ici là.
La flamme vacille…
De nombreuses questions restent cependant en suspens, alors que les frontières japonaises sont actuellement fermées aux visiteurs étrangers, et que les grands événements sont limités à 50% de leur capacité d’accueil, avec une jauge de 5.000 personnes maximum. Une décision sur le nombre de spectateurs autorisés pour les JO sera prise dans les prochains mois. «Il n’est pas souhaitable qu’il n’y ait pas de fans» dans les tribunes, insiste Toshiro Muto, tout en ne pouvant pas garantir pour l’heure la présence de spectateurs, notamment venant de l’étranger: «Je ne peux pas faire de prédictions».
Le comité d’organisation de Tokyo 2020 a dévoilé en décembre une batterie de contre-mesures face au coronavirus, censées permettre à l’événement de se dérouler en toute sécurité cet été, même si la vaccination n’est pas généralisée et si la pandémie n’est pas maîtrisée d’ici là. L’application de ces mesures est «le plus grand défi» des organisateurs, estime M. Muto. Il reconnaît que certaines de ces règles, comme l’interdiction pour les fans de crier (pour éviter les postillons), donneront aux JO de Tokyo une atmosphère inédite.
La flamme vacille…
«L’émotion que ressentiront les spectateurs en observant l’action ne changera pas», croit-il toutefois. «Tant qu’il y aura du sport, il y aura de l’excitation». M. Muto reconnaît qu’il est très peu probable que la pandémie soit endiguée dans un avenir proche, mais «c’est précisément pour cela que nous devons nous souvenir des valeurs olympiques», notamment «la coexistence pacifique des hommes par le sport». «Si nous arrivons à organiser un événement de l’ampleur des Jeux olympiques en pleine pandémie, alors le modèle de Tokyo deviendra une part de notre héritage».
Pourtant certains pensent que la tenue est invraisemblable. Alors que se passera-t-il ?
Cette situation d’une grande incertitude a à la fois un impact économique pour le Japon, et cela met aussi de nombreux athlètes en difficulté. Certains qui avaient programmé de finir leur carrière en 2020 après les Jeux Olympiques ne savent que faire : arrêter ou continuer une année de plus, avec tout l’investissement et l’engagement que l’entrainement pour des JO représentent. Et puis, il y a cette difficulté à s’entrainer avec les restrictions sanitaires… sans compter toutes ces épreuves sportives annulées et qui sont indispensables aux athlètes dans leur préparation.
La flamme vacille…
La flamme olympique est un symbole de l’idéal olympique. Elle fait partie du cérémonial des Jeux olympiques : allumage à Olympe puis relais de la flamme olympique, le dernier relayeur faisant le tour du stade avant de rejoindre une vasque (ou « chaudron olympique ») qu’il embrase grâce à sa torche. Alors est-ce que cette flamme sera à nouveau allumer en 2021 ?
Toute cette situation nous amène à nous interroger sur nos projets. Nous mettons en place des projets au niveau personnel ou au niveau de l’échelle mondiale comme pour les Jeux Olympiques… mais la situation actuelle nous met dans une incertitude réelle… De quoi sera fait l’avenir ? Pouvons-nous encore mettre en place des projets ?
La Bible au travers d’une parole de Dieu veut nous rassurer sur notre avenir : « Car moi, le Seigneur, je sais bien quels projets je forme pour vous ; et je vous l’affirme : ce ne sont pas des projets de malheur mais des projets de bonheur. Je veux vous donner un avenir à espérer ». (Jérémie 29.11)
Malgré la situation actuelle, nous sommes invités à continuer à espérer… Espérer de vivre des projets de bonheur… même si la flamme vacille.
Samuel DINSENMEYER


Les principes de la cuisine végétarienne abordés dans cette émission avec Corinne Valls, cuisinière.
Elle vous parle dans ce podcast #16 de l’ortie.
Écoutez « Top cuisine » tous les jeudis à 9h05 et 13h05.


Introduction au livre « Le Protestantisme pour les nuls » – E. Denimal, auteur


Comment la majorité d’entre nous vit-elle le confinement ? Pour vous, qui je l’espère le vivez sans violence, comment l’abordez-vous au quotidien ?
J’aimerai vous rappelez cette animation très connue :
Devant un public venu l’écouter, le conférencier remplit à moitié un verre d’eau transparent.
Il le tend du bout du bras pour que tous le voient bien et pose la fameuse question : que voyez-vous ? Il laisse passer quelques secondes, et interpelle ensuite son public : alors ?
Un verre à moitié plein ou un verre à moitié vide ? Optimiste, pessimiste, réaliste, etc…
La plupart du temps, cette animation est proposée pour exhorter les personnes à voir les choses du bon côté.
J’aimerai vous partager une réponse, celle d’un croyant. Pour moi, le verre n’est ni à moitié plein, ni à moitié vide.
Le verre est entièrement plein. Il est à moitié plein d’eau et à moitié plein d’air.
Par principe ou habitude, nous décrétons que l’eau représente le plein et l’air le vide.
Mais pourquoi ? L’air et l’eau ne sont-ils pas tout autant nécessaires à ma survie ?
Je n’oublie pas les drames qui se vivent actuellement à cause du confinement : les violences domestiques entre autres ou l’impossibilité de vivre des obsèques d’un proche par exemple. Enormément de situations qui de toute évidence ne devraient pas exister et dont nous espérons qu’elles ne dureront pas.
Mais pour la majorité heureusement, le confinement est souvent juste la confrontation face au verre d’eau.
Et c’est pour ces situation que je qualifierai de normales, que je vous partage ce verset de l’épitre de Paul aux Romains : « tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu ».
Je sais, par expérience, que Dieu m’aide à prendre conscience que mes vides ne sont souvent qu’apparents.
Ainsi le manque de liberté dans mes allées et venues me remplit : de temps, de remise en question, de découvertes de libertés intérieures …
Je finirai en citant un second verset de la Bible qui se trouve au chapitre 3 du livre de l’Apocalypse où Jésus nous dit : « voici je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerais chez lui, je dinerai avec lui et lui avec moi ».
En ces temps de confinement, et à l’heure des apéros virtuels, pourquoi ne pas ouvrir la porte au Christ. Ce serait une belle façon de remplir son verre !
Que Dieu vous bénisse !


Retrouvez "Santé-vous bien" tous les lundis, mercredis et samedis à 7h05 et 19H05.
Le Dr Gentiane Breuil, médecin de prévention, aborde dans cette émission les aliments et nutriments.
Retrouvez « Santé-vous bien » tous les lundis, mercredis et samedis à 7h05 et 19H05 en Dab+ à Paris et Marseille et partout ailleurs sur HopeRadio.fr


« Rencontre autour de la Parole », votre prédication du samedi 23 janvier 2021 avec Gérald Montlouis. Cette prédication a été enregistrée en l’église adventiste de Collonges sous Salève sur le thème : Un chemin d’Espérance.
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Retrouvez « Rencontre autour de la Parole » chaque samedi et dimanche en live à 11h00 sur HopeRadio en Dab+ à Paris et Marseille et sur hoperadio.fr
